Juin-juillet 2017 | Partenaire : asbl D’une Certaine Gaieté

Dans le courant des années 1970, en Belgique francophone, une nouvelle politique publique va financer et absorber une série de projets « socio-culturels » à visée « émancipatrice ».

L’« éducation permanente » se revendique du principe des Lumières selon lequel la transformation de la société passe par l’éducation et affirme la nécessité d’une (auto)éducation « culturelle » et/ou « citoyenne » des adultes et, en particulier, des adultes issus de « milieux populaires ». Si l’ « éducation permanente » se revendique de divers héritages (éducation populaire, etc.), elle constitue elle-même, à son tour, un héritage institutionnel avec lequel bien des associations et projets actuels doivent composer.

Mais que signifie-t-elle aujourd’hui, dans un contexte d’effondrement socio-économique, de reconfiguration des classes sociales autant que des « publics », d’interrogation radicale sur la « culture » autant que sur la démarche visant à émanciper l’autre ? Que peut-on faire de cette politique publique ? Que nous permet-elle et que nous empêche-t-elle de faire et de penser dans nos actions émancipatrices ?

 

Accéder au compte-rendu


Télécharger l'affiche

Partager cette page